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« Bill bon sens, je t'en supplie dépêche toi, mon rendez, vous est dans 25 minutes, on y seras jamais à l'heure ! » rouspetta Tom, alors qu'il tapotaient éternellement sur son BlackBerry , tout en poussant sa petite valise vers l'extérieur. Il était arrivé de leur vacances en Floride, un peu éloigné de Miami, une île loué pour 3 semaines.

Oui, ils venaient juste d'arrivée et Bill eût l'impression que la vie pour Tom ne c'était pas vraiment arrété. C'était ça, sa définition des vacances. Coupé toute communication avec le monde, pendant un temps limité mais assez long tout de même !

Mais il devait avoué, que Tom lui avait fait le plaisir- sans qu'il ai a le lui demandé, d'éteindre son portable, son ordinateur était resté à l'appartement, et tout moyens de communication sauf extrême avait été irradié. Et sa n'en avais été que meilleurs. Le petit couple coupé du monde avait pris des bains de soleil, plongé leur corps dans une eau a vingt degrés délicieux, et il avait aussi pratiqué le sexe sur la plage, le sexe dans le jacuzzi...La promenade complètement nu sur la plage...Certes, c'était une île privée, mais...Enfin. Les employés, pour le rangement, le nettoyage de la maison, et la cuisinière, qui avait le don de faire des Donuts absolument délicieux.

Mais Tom n'avait pas cette...Cette vision des choses. Pour Tom, les vacances était l'occasion de faire tout le sport et activité relié a ce mot ( tel que promenade sportive, ou excursion aquatique...). Il n'arrivait pas à rester, lézardé, étalé sur le sable chaud et fin, se laissant pousser les poils que de toute façon Bill retirera à la cire, il devait tout le temps bouger, nagé, courir. D'ailleurs c'était le premier levé. Il faisait un jogging autour de l'île ( 5 Km ). Mais il était toujours lavé et parfumé pour le réveil de Bill. Bill qui avait beaucoup de mal à comprendre cela, psychologiquement, et mentalement ! Il se couchait souvent tard le soir, terrassé d'un orgasme dévastateur, et remettait ça avec les pulsions sexuelles de Tom en pleine nuit.

Mais l'attention touchait toujours Bill. Il était d'ailleurs souvent réveillé par son parfum, musqué et fort. Son corps doux sentant le gel douche se collait au sien, et une douce chaleur se dégageait de lui. Alors, là, c'était le moment de la journée que Bill préférait. Oh oui, sûrement.

Pour résister à ses deux programmes aussi bien l'un que l'autre, il avait décidé de faire, la première semaine, le programme vacances de Tom ( auquel avait fortement résisté Bill, mais, nous allons dire, que le corps à des réactions, que la raisons ne peux t'ignoré...) En bref, il avait gagné a avoir son programme pour les 2 dernières semaines ( et ceux grâce à des qualité, que nous appellerons...Professionnel.)

Mais tout ce temps était maintenant révolu. Bill grogna quand il sortit péniblement emmitouflé dans son manteau de l'aéroport, aspirant l'air pollué de Paris, tellement différent de celle claire et salé de la mer. Son île allait lui manquer. Oh oui. « Vive Paris » se dit-il, en montant dans la voiture qui les attendait à l'entrée de son enfer.

(...)
« TOOOOM » Bill fronça les sourcils, ou était ses bijoux, et ceintures. Merde. « TOMMMM BORDEL DE CUL RAMENE TES FESSES » Tom arriva, portable en main, près de son oreille, l'air embêtté, même contrarié. Mais Bill l 'était aussi, et c'était beaucoup plus dangereux. Quand il aperçut Bill, Il passa de contrarier, a embêtté. Vraiment.

« Qu'est ce qu'il se passe, Bill ? » Vois douce et ton calme était de rigueur. Mieux vos ne pas réveillé la bête. « Bill ? »

Il y eut un silence, Bill regardait les valise, l'air contrarié, mais l'air, vraiment, vraiment très en colère. Soudain bill se retourna vers lui.

« Il me manque une valise. »

Tom eût envie de rire. Mais, Bill avait toujours les sourcils froncés. Il nota dans sa tête de lui faire la remarque plus tard ; il était vraiment mignon, contrarié.

« Bill, ce n'est pas si grave! Je veux dire, avec le nombre de vêtements de la plus grandes qualité que tu as dans le dressing...Du peu te passé de...Hum...10 Kilos de Vêtements ? Non ? »

Bill le regarda comme s'il était fou. L'air paniqué, et effrayé pris la place de la colère sur son visage. Il s'avança vers Tom, traversant agilement les montagnes de vêtements empilés sans aucun respect. Tom ne l'avait pas remarqué, il eu envie de lui dire de tout ramassé, ce n'était pas respectueux pour ceux qui avait crée ses chose. Et il connaissait plus du deux tiers des créateurs de ce tas de tissus simplement empilés.


« Tu ne sais pas ce qu'il y avait dedans? Tu ne- »
« Oh, Bill bon dieu, quoi il y avait quoi dedans ? De la lingerie fine ? Des capote, une god ? Au pire ce qu'on trouveras dedans mettra a jour ta préférence sexuelle mais oh, j'oublie, le monde le connais déjà tu es vr- »


Le regard que lui lança alors Bill ne lui donna pas l'envie de finir sa phrase. Il y lut que il n?y aurait pas que son courout, qui s'abattrais sur lui.

« Tu te souviens de...Hum, cette partie de jambes en l'air... » dit timidement le brun, devenant subitement rouge. Le portable de Tom était oublié, l'interlocuteur avait sûrement raccroché, il était maintenant obnubilé par le visage de son amour. Sa main se dirigea vers la peau rose de Bill, tout en lui chuchotant « il y en as eu beaucoup Bill... Tellement ! Et y en a pas une que je n'oublie.»

« Ouai, bah , celle ou on c'est filmé...Enfin, ou enfin tu vois. Tu étais sur ce fauteuil en rotin, et moi je ...Enfin....Je te chevauchais quoi, les genoux sur les accoudoirs, et les...»

Tom s'approcha un peu plus de Bill, des flash lui revenant en mémoire, le petite short troué avec lequel c'était présenté indécemment Bill, les cheveux plein de sables, mouillés, tout comme son corps. Ses lèvres c'était perversement collé sur son torse. Sa langue le traversant de long en large.


Il se reprit, et sourit sournoisement a Bill, « J'ai du mal à te suivre, quel rapport avec ta valise ? »

La, Bill eut l'air tracassé, prit en faute. Ses yeux s'adoucir, tout comme son sourire.

« La cassette était dans cette valise. Tout comme le négatif de nos photos? »

Tom blanchit. Toutes leurs photos un peu étranges et farfelus, Bills tout nus, lui tout nus, leur session embrassades, leur gémissement sur la cassettes, les fesse rebondis de Bill sur Lui, son sexe en lui. Tout ça dans les mains de n'importe qui. Étrangement, il n?eut pas la réaction espérée ( redouté ? ) de Bill. Il eux tout d?abord une crise de jalousie.

« Je n'arrive pas a croire que quelqu?un va nous voir a poil, baiser, il va te voir, Bon sens Bill, tu te rend compte ! je vais savoir qui sait et je vais le tuer, comment ont-ils pu perdre ses valises, les gens ne savent pas faire leur boulot, merde. Je m?occupe de ça, Bill »

Il lui fît une bise sur son front, et commença a pianoté sur son portable. Bill ne comprenait plus. Ses sourcils se froncèrent...Préoccupé. Encore une fois. Il retint Tom par sa chemise noire, comment ...

« Tom mais...Tu n'es pas fâché ? Enfin, engueule-moi, demande- moi pourquoi je ne l'ai pas gardé sur moi! Tu ne...Enfin. Tom ! »

Tom rigola, un peu déboussolé. Il se sentait normal...

« Parce que...Je te connais. Ce n'est pas ta faute. Ne fais pas semblant de vouloir assumer. Je sais déjà que tu t'en veux. Pas besoin de te mettre encore plus de responsabilité sur le dos. J'assume, c'est moi qui t'es mit la bite dans le cul, chéri. »

Les derniers mots furent prononcés dans l'oreille du brun. Bill rougit, ce qui fit beaucoup rire Tom, les rôles s'échangeaient.

« Tu es mignon, tout rouge. Avant ou après l'amour, d'ailleurs. »