Chapitre 4:
Je n'est pas pleuré toute la nuit pour tout vous dire. Non j'ai encore un peu de fierté qu'a même. Surtout que je ne pouvais pas me permettre de me pointé au photo shotting avec une tête de déterré ce matin. Je suis dans la cuisine, entrain de prendre mon petit déjeuner tout préparé part le cuisinier de la maison. Je réfléchis à ce que je dois faire. Peut être que je ne dois rien faire en fait.
Pourquoi Tom a réagit de la sorte ?
Ce n'est pas dans ses habitudes. Lui Toujours si calme, posé et réfléchit, se met à Hurler comme je le ferais, et a ...Presque, Me violenté.
Je trouve sa étrange. Il n'est toujours pas sortit de la chambre. Hier âpres notre petite discutions, il est reste plus de deux heure dans le salon. Je n'est pas entendu la télé s'allumé, et encore moins la chaine stéréo diffuser son opéra préférer. Puis il m'a rejoint dans le lit. M'a couvert du drap rouge en soie, et m'a embrasse sur le front et me chuchotant un pardon ; Mes yeux étaient fermer, mon maquillage avait coulé, j'avais pleuré, Il le savait.
Il croyait que je dormais mais...
Cette fois il ne c'est pas collé a moi pendant la nuit. Il ne m'a pas dit je t'aime. Il ne m'a pas embrassé le coup. Il ne m'a pas serré dans ses bras.
Qu'est ce qu'il ce passe.
De toute façon ce n'est pas dans mon habitude de me poser ce genre de question. On s'en fou. Je lui ferais la boude et puis c'est tout.
J'allais prendre la dernière gorgé de mon café noir quand il apparaît dans le salon. Il se dirige vers le poste de télé met la chaine de infos et s'assoit en face de moi.
Pas un bonjour, pas un baiser.
Bon. Lançons-nous. Je suis Bill Zugerfer non ?
Bill : le matin, quand don a pas encore vu la personne en face de sois on dit bonjour.
Tom : Bill. Pas maintenant.
Bill : Quand ?
Il souffle et attrape la boite de thé.
Bill : répond moi tom.
Tom : Bill...Ecoute. Rien que de te voir me rappel ce type alors-
Bill : Est-ce que tu es entrain de me comparé a lui ?
Tom : Non ce n'est pas ce que je veux dire, Bill.
Dit-il et touillant son thé dans sa tasse Bleu marine. Il ne me regarde pas. Toujours pas.ses yeux son fixer sur le plat de fruit devant lui.
Bill : regarde-moi Tom.
IL soupir encore et lève enfin le regard vers moi. J'essais de ne pas montrer le frémissement qui traverse mon corps lorsque ses yeux se son noyer dans les miens. Les cernes ornent le bas de ses yeux. Noir et creuser. Je déglutis et pose ma tasse rouge sur la table.
Bill : je n'est pas réagit comme sa, Moi, quand tu as revu ton ex dans mon dos. Quand tu ne m'a rien dit. Alors ne me fait pas sa Tom. Pourquoi tu m'en veux, exactement.
Tom : je ne t'en veux pas...mais-
Bill : Mais quoi ?
Tom : Tu n'as pas une séance photo ce matin ?
Bill : ne change pas de sujet, Mais quoi ?
Tom : Tu me découvriras bien assez tôt. Et sache d'avance que je suis désolé.
Il se lève avec sa tasse et un abricot qu'il a prit pendant sa dernière phrase. Il se dirige vers la salle de bain. Avant que sa main touche la poignet de la porte argenté.
Bill : Tom !
Ma voix atteint ses tympans et il se retourne enfin vers moi.
Bill : Tom...
Mes yeux se baissent, et je sens le sang afflué vers mes joues.
Bill : Tom embrasse moi.
J'entends la tasse se poser sur la table en vers a coté de la porte, et ses pas doux et léger se rapprocher de moi.
Tom : Mon amour.
Ses doigt touche mon menton, et son autre main tiens ma joues gauche. Mes yeux se noie dans les sien au bord des larmes. Je ne comprends pas tout. Cette expression sur son visage, entre la joie et la peine. Entre le regret et la peur.
Nos nez se touchent mon souffle se coupe. Le sien effleure ma bouche. C'est chaud. Je ne sais pas pourquoi je suis dans cet état mais je suis bien. Alors...sa ne peux qu'être bien ...Non ?
Nos bouches se touchent enfin. Je retiens un soupir dans le font de ma gorge alors que nos deux bouches se colle enfin. Ses lèvres sont fraîches et sucrée. Mes yeux se ferment alors que les sien le sont depuis bien longtemps. Je sens ses cils mouiller toucher ma joue.
Un sanglot qu'il réprime fait ouvrir sa bouche. Sa langue presque craintive vient ce caressé la mienne avide de son gout. Sa main précédemment sur mon menton vient agripper ma nuque, rapprochant mon visage du sien, et approfondissant notre baiser.
Nos lèvres se lâchent enfin. Nos yeux toujours fermé. Je sens une goute effleurer ma main. Et mon front se coller au sien.
Tom : Je suis désolé Bill.
Bill : Mais de quoi Tom.
Tom : je t'aime. Je t'aime. Pardon. Je t'aime.
Puis soudain plus rien. J'entends ses pas précipiter vers la salle de bains.
Sa chaleur n'est plus mienne. Mes yeux s'ouvrent enfin. Il n'est plus là.
J'ai encore le gout de ses lèvres sur les miennes.
Pourquoi je sens que cette journée va être catastrophique ?
[...]
Arrivé au studio L'agitation règne comme toujours. Je vais au secrétariat, demande les infos' nécessaire et me dirige vers mon studio ou je dois faire une séance photo de une heure. Je souffle en chemin en repensant a ma mâtiné qui a très mal et très bien commencé.
En arrivant au studio comme d'habitude les coiffeuses, maquilleuse, et styliste se jette sur moi. Tout d'abord on me coiffe tout en me maquillant. Tirailler des deux coté je reçois la « situation » dans lequel je dois me mettre pour les photos. Sa devrait pas être si compliquer a faire.
Bill : Aïe. Fouté moi encore le pinceau a yeux dans mon œil et c'est les vôtres que j'arrache. C'est clair ?
Je souffle puis me concentre sur autre chose. J'essai toujours de comprendre Tom. Enfin...
Je vois des mannequins défile dans les couloirs. Ah non ce ne sont pas des mannequins mais des stylistes. Des femmes surtout. Quand je vois un visage féminin familier passer rapidement le couloir...Bizarre je n'est aucun amis Fille. Mais j'aurai juré avoir vu ce visage quelques part.
Ma coiffure et le maquillage terminé, et je me dirige vers les vêtements que j'ai a porté. Ils sont beaux.
Bill : Est ce que je pourrais les avoir après ?
Styliste : Mais bien sur !
Bill : Génial. Ou est le photographe ?
Styliste : Là, la photographe. Et le deuxième mannequin devrait arriver.
Bill : Ya deux mannequins ? Je croyais que j'étais le seule !
Styliste : oh non, Vous êtes deux hommes.
Bill : Oh ? Bon. Ok.
J'enfile mes vêtements rapidement, choisis ave sois par les 4 stylistes de la marques, puis il leur reste à choisir les chaussures et accessoire. Je pense que sa va être long.
Bill : Je reviens. Je vais boire un autre café.
Je me dirige vers le buffet installé. Il ya toujours des milliers de truc a mangé, mais personne ne ce sert a part les producteur, manager et autres gens du staff photo. Les mannequins ne veule pas ce servir parce qu'ils vont grossir, et les autres sont trop stressé pour pouvoir avalé quoique ce soit.
Du coup je profite.
... : les appareils sont prés ? Ou sont les mannequins ? Et mon assistant ?
Staff : L'autre mannequin se fait maquiller et coiffer dans le studio 34, le premier est là. Et votre assistant est allé chercher votre frappachino chocolat que vous lui avez demandé ! Mais ça fait 20 montes qu'il est partit alors que le café est en face...
Je me retourne pour voir qui a donc terrorise l'assistant au point que il s'enfuit.
C'est la femme que j'ai vu dans les couloirs tout à l'heure. Je m'avance un peu, et ...
Elle ressemble a...Je m'avance vers elle et la regarde droit dans les yeux.
... : C'est vous ? Le mannequin ?
Bill : Oui. Et vous êtes... ?
... : Katia Kat. Et vous Bill Kaulitz.
Bill : Vous connaissez le nom d'un de vos mannequins bravo. Je vous ai déjà vue quelques part mais....Est ce que j'ai déjà posez devant vous ?
... : Non, mais nous avons un homme en commun.
Un homme en commun ? Je fronce un peu les sourcils sans le vouloir. Ma grande j'ai eu beaucoup d'hommes dans ma vie...Qu'elle soit plus précise. Elle me regarde tout en maniant avec une d'dextérité impressionnant son appareil. Elle enlève un zoom et en met un autre après avoir regardé rapidement sa taille je crois. Puis me sourit.
Katia K. : Comment Tom a put tomber amoureux d'un homme...de plus de ça.
Je hausse un sourcil en la regardant longuement de haut en bas. Elle a des formes. De jolie forme, C'est une femme, métisse, d'une vingtaine d'année. Elle porte une jupe tailles haute, rouge avec un chemisier blanc à manche longue. Un bonnet qui cache ses cheveux à l'arrière et de long cheveux bouclé noir sur la fin avec une frange qui s'arrête pile au dessue de ses cil. Enfin Faux cils. Elle est très ...comment dire. Elle est bien habiller pour une photographe Je veux dire...Elle est élégante il ne fait pas le nier. Elle porte des Richelieu, Blanche et noir.
Une seconde elle a Dit Tom ?
Katia K. : Bref. Je suis votre photographe pour cette séance, et pour le reste de la promo. On va devoir se supporter. Pendant 2 semaines. Ouuuh !!
Bill : Tom ? Vous connaissez Tom ? C'est l'homme en commun que nous avons mais enfin il n'a eu qu'une femme dans sa vie et...Oh merde !
Katia K. : Vous venez de percuté. Katia Kat Kaulitz. Enfin. Ancienne Kaulitz.
Bill : C'est vous la pétasse qu'il a engrossé ? Et je vais devoir travailler avec pendant deux semaines ?
Katia K. : Sa ne me plait pas plus qu'a vous, mais C'est comme ça. Où est votre collègue mannequins !? Je n'est pas que vous a photographié.
Bill : Aucune idée. Je ne sais même pas qui sait. Putain. Qu'elle mâtiné pourrit.
Je me retourne et vais enfiler les chaussures quand j'entends mon portable vibré. Après avoir enfilé mes chaussures, je vas chercher mon portable dans mon énorme sac Balenciaga ©.Pourquoi cette marque ce sens obligé de faire tout le temps d'énorme sac. Et pourquoi j'en achète ?...Alala. A voila.
2 Nouveaux Messages : Tom, Numéro inconnu.
Hum.
Je ne lis pas celui de Tom et ouvre directement celui de l'inconnu.
« Alors comme ça on va devoir ce supporté pendant deux semaines. Mon amour. »
Mais c'est qui cette...Ou ce tarer.
... : Bonjour...Mon Billou.
Oh mon Dieu.
PARTIE 2
Oh mon Dieu.
Mon souffle reste bloqué au fond de ma gorge. Alors que ses mains viennent prendre les miennes. Un mouvement de recul me fait perdre mon portable. Il m'échappe des mains et retombe dans mon sac.
... : Est-ce que C'est moi qui te met dans cette état ?
Bill :...Pourquoi tu es là. ?
... : Parce que ton petit amis m'a choisi. Parce que je suis le plus beau.
Bill : Jordan, Lâche mes mains.
Jordan : Mais tu tremble mon Billou... !
Bill : Non je ne tremble pas, et je ne m'appel pas comme ça. Je ne suis plus...Avec Toi. Et merde lâche moi !
Je me détache de lui soudainement. C'est vrai. Mes mains tremblent. Mon corps tout entier tremble. Mon cœur bas a une vitesse hallucinante. Comment... ? C'est donc ça...les excuses. S'il croit qu'il va en sortir comme ça... !
Je me retourne et le regarde dans les yeux. Ses yeux verts me transpercent. Il n'a pas changé. Peut être que ses traits se sont plus...Comment dire, endurcit, sans les rendre méfiant. Il est plus grand. Il fait plus homme et beaucoup plus mature. Il est beau. Il porte un tee shirt gris et de écriture rose fluo, un pantalon blanc, et des baskets de toutes les couleurs. Une de ses mains vient trouver ma joue.
Je soupir. Mon dieu.
Jordan : Tu sais Bill je ne t'ai jamais oublié.
Qu'est ce que je suis sensé lui répondre là ? Moi non Plus ? Moi Si ? Je ne sais pas. Mes yeux se ferment. Mon portable vibre contre les clous de mon sac, et font un bruit insupportable pour mes tympans. Je sursaute et me rend compte de la chose.
Je Le repousse violement et me dirige vers le plateau photo.
Resté de marbre.
Enfin essayé. Je ferme les yeux pour que la maquilleuse me remaquille. Je vois des images, des images de nous, des images de moi...De Jordan, de nos amis, de souvenirs ensemble, Mes sourires, mes rires, Ses mains sur moi, ses câlins, ses baisers dans l'intérieur de ma main...
Je frissonne violement. Et respire fort pendant un temps. De longues minutes passent. Enfin, les retouches sont terminées. J'ouvre les yeux, les plissent, les lumières fortes agressent mes pupilles, Je m'habitue vite, puis, Prend la pose, Katia me parle mais je n'y fait pas attention, si elle croit que je vais l'écouté elle se met le doigt dans l'œil jusqu'à coude. C'est d'abord des poses individuelles.
Après quelques pose plus bonne les une que les autre, on l'appel.
Pendant que la poule change les zooms et règle les lumières, je me change et me retrouve en slim très très serré, et en chandail blanc tout aussi serré. Je me place devant Lui, cambrant un peu les reins à ses hanches sous les « ordre » De cette pétasse. Elle se bouge dans tout les sens, faisant remonter sa jupe, et attirant tout les regardent. Non mais elle se prend pour qui. Normalement c'est moi la star.
Je sens un contact chaud sur mes hanches dénudé. Je baisse doucement les yeux.
Bill : Enlève ta main de ma hanche !
Jordan : Tu es si sexy...
Bill : Je le sais.
Jordan : tu ne te souviens pas nous ? Tu étais si bien. Nos logues balade dans le skate parc de la ville...tout le monde disais qu'on était le couple parfait...Hein Billou. Si tu tiens encore un temps sois peu a tout sa, rejoint moi à vingt heure ce soir. Au restaurant devant la gare de Lyon.
Sa bouche effleure mes oreilles. Il sait que je suis sensible la. Ma main part toute seule et se colle violement à sa joue. Ma respiration est rapide. Et ma vision floue.
Bill : Notre histoire est finie quand tu as pénétré cette fille.
Je me dirige en furie verre mon sac. Comment ose-t-il. Les légers talons de mes chaussures claques durement sur le sol. J'entends les assistants, styliste, producteur et autre parler fort autour. Ils protestent, et se demande pourquoi je l'ai giflé. Je soupir de colère et prends mon sac, pendant que Katia Me court après.
Katia : Bill revenez ici, Je dois finir cette séance pour Midi, on est déjà en retard, vos différents doivent rester en dehors des séances de travail !
Bill : Oh vous la pétasse vous la fermé ! Nous devons peut-être travailler deux semaine ensemble contre mon grés. Mais sachez que ces deux semaine seront les deux semaines les plus horribles et atroces de votre vie. Vous allez regretter votre job...et votre ancienne relation avec Tom. Espèce de truie.
Mon regard se fait méprisant. Je sors du studio rapidement, et attrape un taxi. Je rigole sans grande intonation quand je me rends compte que depuis que je suis 'vraiment' avec Tom, je ne prends plus le taxi, J'ai un chauffeur à ma disposition... La voiture s'arrête.
Une fois dans le taxi Je bassa la tête sur le message que je n'avais même pas fermé de Jordan. Je vois même ses lèvres prononcer ces mots. L'endroit ou ses mains m'ont touchée me brule. J'entends sa voix me parler encore et encore. Mais je vois aussi lui et cette fille. Un léger vertige me prend. Je secoue la tête pour que cette image s'efface.
Je vais devenir dingue.
Puis l'image de moi et Tom me reviens en mémoire. Nous dans l'appartement. Nous au lit, Nous au restaurant. Nous dans la piscine. Mes rires avec lui. Nos petit jeu de séductions, enfin plutôt mes petits jeux de séductions. Tom et ses « je t'aime » tom et son amour Tom et son rire. Mon ventre se tord et deviens chaud.
Tom...Jordan.
Un soupir de lassitude m'échappe. La voiture s'arrête. Je le paye et sort de la voiture.
Arrivé à l'appartement, Je m'étale sur le canapé. Fais valser mes chaussures de deux petits coups de pieds agiles, et m'étale de tout mon long sur le sofa qui épouse si bien les formes de mon dos.
Mes yeux se ferme, pourtant ce n'est pas la fatigue. Il n'est que midi...je suis juste...pensif. Je ne sais pas trop comment...géré toute cette situation.
Mais enfin on se croirait dans un film brésilien mal tournée. Le retour des ex...Ce n'est pas possible. Qu'est ce que je dois faire exactement ?
Attendre que passe les deux semaines ? Non. Insulté l'ex de Tom comme j'ai vraiment envie de le faire depuis le début de la mâtiné ? Accepté les avance de Jordan ? Mais Tom ? Ou bien la vielle méthode, je couche avec l'un et l'autre et je me décide après...
...
Ce n'est pas forcement bête ça... !
Mes mains se posent mollement sur mon visage. Puis glisse sur mes cheveux. Je ne suis pas comme lui. Je ne trompe pas mes partenaires. De touts façon je n'en est même pas l'envie. Tom m'est amplement suffisant. Mais alors pourquoi j'en viens à avoir ce genre de pensé ?
Raaaah sa me prend la tête cette coneries.
J'entends l'ascenseur monté sur notre étage, et les portes s'ouvrirent dans l'entrée et une voix qui m'est si familière chatouiller mes tympans. Je vois enfin son corps passé la porte du salon ou je repose telle une larve. Oui Une larve mais une belle larve.
Il a un petit rictus de peur en me voyant. Je le regarde dans les yeux s'en défaillir. Ce qui j'avoue. N'est pas forcement facile. Il coupa son téléphone et tenta un sourire vers moi. Il regarda l'expression de mon visage changer et perdit aussitôt son beau (sexy) sourire.
Tom : Bill je suis désolé Mais je n'avais pas le choix je t'assure.
Bill : Alors moi, je me propose VOLONTAIREMENT, sans forcement être payer, pour poser pout TOI et c'est comme ça que tu me remercie ? En me faisant bosser avec Ton ex comme photographe, et MON ex comme 2eme mannequins ? Tu veux quoi au juste, essayer de briser ton couple ?
Tom : Quoi ? Mais qu'est ce que tu raconte Bill ! Je suis désolé mais je te l'ai dit je n'est pas eu le choix ! Je ne pouvais pas Mettre quelqu'un d'autre de ce con de Jordan pour ma publicité, il est exactement le profil que j'espérais ! Et Katia est la seule photographe présente pour le moment. Tous les photographes sont sur les autres campagnes ! Je suis en plein mouvement de créations, ils sont tous occupé Bill. Je ne peux pas faire autrement.
Bill : Mais enfin c'est mon ex !
Tom : Bill Il fait que tu apprennes à mettre ta vie sentimentale et professionnelle de côté.
Bill : Comment tu peux me dire ça ?
Il pose son sac bandoulière Longchamp sur la table a côté de lui, et son portable dessus. Il se frotte la joue et viens vers moi. Il s'agenouillé à coté de moi et me sourit doucement. Son corps sans le thé. En se moment il ne boit que sa. C'est son café. Certains c'est la cigarette, d'autre le café. Certains le café et la cigarette. Moi c'est le sexe, lui c'est le thé. Je sens bien qu'il est stressé. Il se lève pendant la nuit, Et ne se recouche que très tard après. Quand il est à la maison il est dans son bureau...Et si j'ose lui sire quelques chose, il pique une crise. Et pas des moindre.
Bill : Ne me sourit pas aussi narquoisement et niaisement sa m'énerve profondément là, Tom.
Tom : Bill s'il te plait. Fais un effort. Je ne dors presque que trois heures part nuit, je suis enfermé dans mon bureau toute la journée pour essayer de sortie une meilleur collection que celle de printemps été. Je ne peux pas tout gérer. Je ne peux pas tout bien faire. Ok ?
Je le regarde, il à l'air un peu désespère et atteint. Son teint est assez livide et pâle. Ses yeux son vitreux et fatigué. Des cernes trônent le dessous de ses yeux. Je souffle et me lève écartant ses mains précédemment posé discrètement (voir un peu trop) sur mes cuisses.
Je lui tourne le dos et me dirige vers notre salle de bains.
Tom : Mon amour...
Bill : Quoi ?
Tom : Je fais de mon mieux...Vraiment. Je suis dés-
Bill : Est-ce que ton travail passe ...avant moi ?
Je ne sais pas pourquoi cette question sort de ma bouche. J'avais envie de savoir peut être. Je veux savoir si...Si je suis avant...Ou après.
Je sais que c'est complètement immorale ce que je demande a cette instant. Je connais sa réponse. Mais...Au moine je serais fixé.
Mon cœur bat un peu plus vite. Aucun son ne se fait dans la pièce.
Tom : Bill c'est mon rêve. C'est ce pourquoi j'ai toujours travaillé. C'est la chose dans laquelle j'ai mis toute mon âme. J'ai du travailler pour des gens exécrable toute ma jeunesse, pour pouvoir avoir assez d'argent pour crée ma société de mes propres mains. Tu sais que je t'aime à la folie. A en crever même, Bill mais...ne me demande pas de choisir entre toi et mon travail. Tu ne peux pas-
Bill : D'accord.
Tom : Bill Tu-
Bill : Ne te justifie pas. Je comprends.
Je sens ses mains encerclé mes hanches. Sa bouche se poser dans mon coup. Un violent frisson me parcourt l'échine. Faisant secouer mon corps et le coller un peu plus contre le sien. Je soupir de bien-être. Mes mains se place au dessus des siennes.
Tom : Mais je ne fais pas ce genre de chose a mon travail. Je ne lui fais pas l'amour, je ne le caresse pas. Je ne lui dis pas...
Il s'approche de mon oreille. Je sens son souffle chaud frapper mon lobe. Ma respiration, elle c'est coupée. Tout comme mon cœur je crois...
Bill : Tu ne lui dis pas quoi... ?
Tom : Je t'aime.
Un gémissement passe ma bouche, comme une plainte. Des papillons jouent comme des cons dans mon ventre. Je ne peux plus les arrêté. Mes lèvres happent les siennes dans un mouvement rapide et sec. Lentement la tête de tom se pencha. Nos haleines se mélangèrent. Nos nez s'effleuraient. Nos langues enterrent en contact, se bâtant pour avoir le contrôle. Le baiser s'enflammât un peu plus pour être coupé par le manque de souffle. Ma tête bascula sur son épaule recouverte d'une légère écharpe beige en soie. Son coup embrassait de baiser pur, presque aérien sur ma peau. Pendant que ses mains passaient sous mon pull rouge. Me créant un million de frissons.
Bill : Han...Tom !
Tom : Excuse-moi Bill...
Bill : Mmh. Si tu crois qu'avec le sexe on peut tout régler...
Tom : Comme si sa te dérangeait.
Bill : C'est vrai ! *rire*
Tom : C'est si terrible d'être avec mon ex-femme au boulot ?
Bill : Han ! C'est une pute qui croit qu'elle peut out contrôlé. Elle va passez les pires semaines de sa vie avec moi !
Il rigole et m'embrasse doucement dans le coup. Je soupir encore.
Tom : T'es super sensible ces temps-ci, dis moi.
Bill : La ferme.
Tom : Non je suis sérieux qu'est ce qu'il t'arrive t'as tes règles ? *rire*
Je le regarde, outré, attend il vient de me comparé a une fille. Je me détache de ses mains violement pour cette fois atteindre réellement mon but : La salle de bains.
Tom : Bill !! *rire* Rooh fais pas ta tête de cochon !
Bill : Tu sais ce qu'il te dit le cochon ? Pour calmé ta bite tu peux toujours te sucer tout seul !
Il poussa un petit crie de désapprobation et une fois la porte de la salle de bains fermé, vint la gratter comme un petit chien. Geignant pendant quelques minutes avant de jurer et se diriger vers ce qui doit être la cuisine.
Je grimace un peu quand je me souviens de la phrase de Tom il ya quelques instant « T'es super sensible ces temps-ci »...
Je ne suis pas plus sensible qu'avant. Si ? C'est juste que...que...que je suis en manques voila.
Ou j'essais de m'en convaincre...
Je soupir et commence à me déshabiller.
Tom : Bill...j'ai envie...
Bill : Et moi je suis nue dans la salle de bains...
J'entends un grand silence puis il se met va tambouriner contre la pauvre porte de la salle de bains, que je lui ouvre avec grande joie, cette fois.
[...]
Tom est aux petits soins avec moi. Pourquoi ? Parce qu'il s'en veut a mort, de m'infliger son ex-femme au travail.
Je sens que ces deux semaines ne seront pas si horrible que ça, finalement. Enfin...Pour certains...
Nous sommes devant la télé. Moi dans les bras de ce cher Tom, sur le canapé. Il est presque 22 heures. Nous avons finit de manger. Et il a passez l'après midi a son bureau. Et moi à faire d'autre photo parce que 'sois disant' je suis partit trop tôt ce matin...pff. Bref.
Je jette un coup d'œil à Tom.
Il a les yeux fermes, la bouche demie ouverte et sa respiration se fait régulière. Je souris un peu et retire son bras de mon coup. Me dégage lentement de ses bas et me dirige vers la chambre. Je crois que je vais dormir tout seule se soir. Je ne veux pas le réveiller. Il est assez fatiguer comme ça.
Tom a peut être raison. Avant je l'aurais réveillé pour aller au lit avec moi...Ou même juste comme sa pour le faire chier mais là...je soupir pour la énième fois de la journée et rentre dans les draps.
Peu de temps (je n'arrive pas a dormir) après je suis rejoint par une masse chaude qui viens s'étaler sur moi. Je grogne ouvertement contre cet inconnu.
Bill : Tom ! T'es lourd putain ! Retourne dans ton canapé !
Tom : Peut pas dormir sans toi...
Je réprime un sourire et le pousse un peu moins sur moi. Il a sa tête sur mon ventre et les mains autour de mes hanches. Mes mains sont dans ses cheveux. Mes yeux se ferment automatiquement.
Je sombre dans un sommeil en espérant que la journée de demain sera meilleure que celle d'aujourd'hui.
FIN CHAPITRE 4