Chapitre 20. Sublimation

La refocalisation de l'énergie psychique de manière à l'éloigner des courants négatifs pour l'amener vers des courants positifs, ou la recanalisation des flux qui n'aboutissent pas à un courant.

(Age : seize ans, cinq mois après la tempête)

Les jumeaux s'assirent chacun à un côté du divan, ne voulant même pas ne serait-ce que regarder l'autre, et encore moins le toucher.

“Tout ça c'est stupide,” marmonna le plus jeune des garçons.

“Pourquoi est-ce que c'est stupide ?” demanda Alan, le stylo en suspens, prêt à prendre des notes.

“Parce que ça ne résoudra rien. Il me déteste.”

“Je te déteste pas. C'est juste que j'aurai voulu que tu ne sois pas mon jumeau,” dit sèchement le plus âgé, tirant sur le bord de sa casquette pour la ramener devant ses yeux et ainsi éviter de voir l'expression blessée du visage de son frère.

Alan marqua une petite pause, les surveillant et se demandant quelles étaient les chances de pouvoir réparer cette relation qui était déjà dévastée. Parfois Alan avait l'impression qu'il perdait la main. C'était comme s'il n'arrivait plus à voir en eux.

“Est-ce que tu détestes le fait d'avoir un jumeau, ou est-ce que tu détestes que ce soit lui qui soit ton jumeau ?”

“Je déteste que ce soit lui mon jumeau.”

“Que détestes-tu dans cet état de faits ?”

“Ca... ça complique les choses.”

“En quoi ?”

“Tout le monde s'attend à ce qu'on soit d'une certaine façon, qu'on agisse d'une certaine façon, qu'on s'aime d'une certaine façon...”

“Comment veux-tu l'aimer ?” demanda Alan avec précautions.

L'aîné des jumeaux se fit silencieux et ce fut finalement le plus jeune qui parla.

“Je veux juste qu'on soit frères,” chuchota-t-il, sachant que ce n'était pas ce que son frère voulait entendre, mais il fallait qu'il le dise.

“J'aurai voulu qu'on ne soit pas frères.”

Alan avait fixé son attention sur son bloc-notes, où il grattait des notes tandis qu'il essayait de trier les informations. Devait-il vraiment prendre les mots des jumeaux au pied de la lettre ? Etait-ce vraiment de la colère qu'il pouvait entendre dans la voix de l'aîné ? Est-ce que son expérience passée faussait sa vision de ce cas et lui faisait y voir des choses qui n'y étaient pas ? Il leva de nouveaux les yeux vers les garçons, juste à temps pour pouvoir voir le long et douloureux regard que l'aîné jetait à son jumeau.

“Hayden, est-ce que tu serais d'accord pour que je parle à Henry seul à seul quelques minutes ?”

Le cadet des jumeaux hocha la tête et se déplia de son côté du divan où un autre jumeau, très différent, s'était un jour assis. Les jumeaux Krause n'avaient qu'un an de moins que Bill et Tom et ils rappelaient tellement à Alan les garçons, dont il n'avait pas eu de nouvelles depuis si longtemps. Il essaya de rester concentré sur ses patients du moment. Ils méritaient toute son attention, mais il ne pouvait s'empêcher de se demander comment Bill et Tom allaient. Ils étaient souvent à la une, tout sourires et discutant avec excitation de leurs nouveaux morceaux. Alan s'inquiétait, craignant que tout cela ne soit “juste faire semblant” et espérant que les garçons tiendraient leur promesse et l'appelleraient. Continuaient-ils à se parler ? Est-ce qu'ils se débrouillaient ? Etaient-ils toujours ensemble ?

**

“Oh mon Dieu, Tomi !”

“Shh !”

“Tooooomi !”

“Bill, tais-toi ! Maman et Gordon sont à la maison !”

“Ils dorment. Je peux pas m'en empêcher. C'est tellement si bon.”

“Ah ouais ? Tu en veux encore ?”

“Ouiiiiiiii,” siffla Bill, hissant les mains au niveau de la tête de son lit pour la saisir et se cambrer.

Etrangement, tout cela avait commencé en dispute lorsque Tom avait eu un commentaire désagréable à propos du nouveau tatouage de Bill, en forme d'étoile, et que celui-ci avait gagné sa chambre pour aller y bouder. A présent il était allongé sur le dos, s'accrochant désespérément au lit pour rester immobile tandis que Tom présentait ses excuses avec ses mains et ses lèvres. L'effleurement du piercing au labret de Tom, froid, contre sa peau sensible, nouvellement encrée, était suffisant pour faire haleter Bill, mais Tom fut prompt à calmer sa douleur.

Tom était déjà en train de se débattre avec la fermeture éclair de Bill, tirant frénétiquement dessus pour pouvoir enfin débloquer le sacré machin. Bill eut un petit geignement frustré et Tom y répondit d'un baiser léger comme une plume placé juste en dessous de son nombril.

“Tom, dépêche-toi !” Bill était frénétique, assez pour que Tom se demande s'il n'avait peut-être pas fait exprès de prendre la mouche afin de pouvoir obtenir ce genre d'attentions. Pour que les choses aillent plus vite, Bill retira de lui-même son t-shirt et le jeta au sol.

“Enfin,” dit triomphalement Tom lorsqu'il réussit à ouvrir la braguette du jean de Bill et le lui enleva. Le boxer de Bill suivi immédiatement et Tom lécha son piercing à la lèvre tandis qu'il baissait les yeux sur le corps de son frère, nu et à sa disposition. Il bandait ; son sexe était rouge, tendu, et suppliait qu'on lui apporte de l'attention. Bill roula suggestivement des hanches, cherchant à ce que son frère arrête de le fixer et passe plutôt à l'action.

“Suce-la-moi.”

“Sérieusement ?”

“Tu ne me suces jamais, Tom. C'est pas juste.”

Tom se lécha nerveusement les lèvres. Bill avait raison ; il ne faisait en général pas de pipes, sauf s'il avait fait quelque chose qui nécessite qu'il s'excuse sérieusement. Tom aimait son frère. Il aimait son goût, il aimait le faire gémir et se tortiller, il aimait le faire jouir, mais il n'aimait pas tailler des pipes.

“Si tu ne me suces pas, fais au moins quelque chose !” geignit Bill.

Tom sourit en coin et se pencha pour venir embrasser son frère sur les lèvres. Bill n'était jamais aussi sexy que quand il était prêt à tout pour avoir de l'attention. Tandis que Tom le distrayait d'un baiser, il fit glisser ses doigts le long de sa cuisse, caressant la peau avec légèreté jusqu'à ce qu'ils atteignent la cible visée. De longs doigts s'enroulèrent autour du sexe de Bill, le pouce de Tom se précipitant directement sur la fente, y étalant le liquide séminal. “Ecarte les jambes,” murmura-t-il d'une voix basse qui fit frissonner Bill.

Bill s'exécuta rapidement, écartant les jambes pour son jumeau. Il ne savait pas ce que Tom avait l'intention de faire, mais il ne discutait pas quand Tom prenait ce ton-là. C'était très clairement l'une des occasions où Bill écoutait avec grande attention. Il savait que Tom avait quelque chose en tête, quelque chose qui allait être très bon.

“Ferme les yeux,” murmura Tom avant de commencer à longer le corps de Bill, laissant la traînée brûlante de sa langue le long de son torse. Bill ferma les yeux et sourit pour lui-même, certain que son frère avait abandonné et allait lui faire la fellation qu'il voulait.

Exactement comme il s'y attendait, quelques instants plus tard, Bill sentit la langue de son frère le lécher sur toute la longueur de son sexe, s'attardant à l'extrémité. Le contact ne dura vraiment pas assez longtemps, et Bill se retrouva à soulever les hanches pour en demander plus. Tom profita de l'occasion, saisissant des deux mains les hanches de son frère qui quittaient le lit. Bill laissa échapper un grognement frustré lorsque Tom ignora son érection douloureuse et se déplaça pour aller joueusement embrasser ses cuisses.

Bill n'était qu'à un doigt de laisser échapper un nouveau geignement, très long et très exigeant, lorsqu'il sentit la chaude respiration de son frère entre ses jambes. Tom sépara les cuisses de Bill du bout du nez. “Tomi, qu'est-ce que tu f- oh mon Dieu !” Les mains de Bill se crispèrent soudainement sur les draps à ses côtés. Il était absolument certain que s'il les lâchait, il allait se mettre à flotter. La langue de Tom était sur son entrée ; le léchant, le sondant, le touchant à un endroit où sa langue ne s'était jamais aventurée auparavant.

Tom eut un sourire en coin tandis qu'il promenait sa langue autour de l'entrée de son frère et l'écoutait haleter. Il donna un coup de langue et fut récompensé par un frisson et un gémissement bas de son jumeau. Tom pouvait sentir que Bill se relaxait, se détendait, le laissait entrer. Il inspira l'odeur de son frère, propre et musquée, et il pressa plus avant, sa langue s'enfonçant cette fois-ci aussi profondément que possible en Bill.

“Putain !” haleta Bill. Ses jambes étaient toutes tremblotantes et chaque coup de langue apportait une nouvelle vague de plaisir. La respiration de Tom était chaude contre sa peau et sa langue s'enfonçait à présent profondément, se frayant un chemin au travers de l'étroit anneau de muscles. “Baise-moi !” parvint à articuler Bill entre deux halètements. “Tom, baise-moi !”

Les secondes nécessaires à Tom pour qu'il se retire et ôte ses propres vêtements furent insupportables pour tous deux. Tandis que Tom arrachait ses vêtements et les jetait au sol, Bill cherchait avec frénésie la bouteille de lubrifiant qu'il avait planqué dans sa table de chevet. Il finit par la trouver, cachée dans une petite boîte, elle-même recouverte d'une pile de livres et d'un tas de Playboy, qui avaient pour but de leurrer leurs parents et de leur faire passer l'envie d'aller regarder plus avant.

Tom ôta la bouteille des mains de son frère et couvrit ses doigts d'un peu du gel froid. En temps normal il attendait un peu qu'il se réchauffe un minimum avant de toucher son frère, mais Bill se tortillait impatiemment et Tom eut la sensation qu'il ne voulait pas attendre. Ses doigts recouverts du lubrifiant froid et glissant trouvèrent rapidement l'entrée de Bill et se glissèrent rapidement à l'intérieur, ne se voyant opposer que très peu de résistance. Il fit aller et venir ses doigts plusieurs fois, les tordant pour s'assurer que l'intégralité de l'entrée de Bill était bien enduite.

“Je suis prêt. Maintenant, Tom. Fais-le maintenant,” gémit Bill tout en soulevant ses hanches et en se pressant contre les doigts de son frère.

Tom s'assit sur ses talons et se saisit de nouveau de la bouteille de lubrifiant. Il étala une dose généreuse du gel froid sur sa chair chaude et douloureuse, et il dut prendre bien soin de ne pas toucher plus que ce qu'il fallait. Il était à présent aussi frénétique que son frère. De voir Bill trembler sous lui était plus que suffisant pour propulser Tom au sommet de l'excitation.

“Viens là,” dit Tom, faisant signe à Bill de venir monter sur ses genoux.

Bill leva vers lui des yeux prudents. Cela faisait bientôt un an depuis qu'ils avaient fait l'amour pour la première fois, et durant ce laps de temps ils avaient testé un certain nombre de positions, mais celle-ci était nouvelle. Il semblait que Tom soit plein de nouvelles idées ce soir. Cela aurait sans doute pu rendre Bill nerveux, s'il n'avait pas été aussi impatient de prendre son pied.

“Comme ça ?” chuchota Bill tandis qu'il grimpait sur les genoux de Tom, s'essayant à cheval sur ses cuisses et se positionnant avec attention pour que le sexe de son jumeau se presse contre le creux de ses fesses. Il enroula ses bras autour des épaules de Tom, trouvant que le prendre dans ses bras semblait plus naturel pour cette position.

“Mmm. Oui, juste comme ça,” gronda Tom tandis que Bill se tortillait, son cul glissant le long de son sexe lubrifié. Il fit descendre sa main entre eux, glissant sa main sous Bill pour positionner son sexe comme il le fallait. Bill se souleva légèrement et Tom trouva rapidement sa cible. Ils laissèrent tous deux échapper un petit gémissement lorsque le gland de Tom caressa l'entrée de Bill.

Tom n'eut pas à dire à Bill quoi faire ensuite. Avant qu'il n'en ait l'occasion, son petit frère était déjà en train de se laisser descendre, sa chaleur entourant rapidement l'érection douloureuse de Tom. “Putain,” siffla Tom. Ses mains vinrent se poser sur les hanches de Bill, le tenant fermement tandis qu'il bougeait.

Bill laissa lui aussi échapper un gémissement tandis qu'il s'abaissait sur le sexe de son frère. Une fois complètement descendu il raffermit sa prise sur son jumeau, le rapprochant de lui tandis que son propre sexe douloureusement tendu était pressé entre leurs deux corps. Sa tête retomba sur l'épaule de Tom et ses lèvres trouvèrent rapidement le petit endroit dans le creux du cou de Tom qui faisait frissonner ce dernier.

Les mains posées sur les hanches de Bill, Tom commença à guider les mouvements de son frère. Ils débutèrent lents, et Tom autorisa son frère à en contrôler la vitesse pour le moment. Même avec toute leur pratique, Bill restait incroyablement étroit et Tom faisait toujours attention à ne pas le blesser. Bill augmenta peu à peu la cadence et il ne fallut pas longtemps avant qu'il ne décide qu'il avait besoin de plus. Bill n'était pas d'humeur à une partie de jambes en l'air qui prendrait son temps, et bientôt il se retrouva à chevaucher le sexe de Tom avec toute l'énergie et l'enthousiasme dont un adolescent de seize ans pouvait faire preuve. Les mains enroulées autour des épaules de Tom, il s'empalait sur le sexe de son frère, frottant le sien entre eux.

Bill se frottait et tremblait contre Tom, se tortillant constamment tandis qu'il essayait de trouver le bon angle. Il finit par le trouver ; l'angle parfait qui permettait juste la bonne dose de pression contre sa prostate à chaque va-et-vient. Tom fit glisser sa main sous le cul de Bill pour s'en saisir, et il le tint tout contre lui tandis qu'il roulait des hanches et le soulevait, frappant sa prostate à mort. Les doigts de Bill s'enfoncèrent dans les épaules de Tom tandis qu'il essayait de refouler les petits couinements de plaisir qui accompagnaient chaque mouvement descendant. Il était tellement proche, mais il fallait que Tom jouisse avec lui.

La tête de Tom retomba en arrière et sa bouche s'ouvrit en un cri silencieux lorsqu'il sentait Bill taquiner sa gorge. Il continuait à se frotter contre lui, étalant son liquide séminal sur le ventre de Tom. Celui-ci fut soudainement obligé de se mordre la lèvre pour étouffer un gémissement audible quand il sentit les muscles de Bill se contracter et se resserrer autour de lui. Son petit frère y mettait vraiment du sien pour lui faire prendre son pied.

“Jouis, Tomi. Jouis en moi,” supplia Bill tandis qu'il se soulevait de sur son frère et s'empalait de nouveau rapidement. Leur rythme était devenu frénétique et Bill savait qu'il en aurait des courbatures plus tard, mais à ce moment précis il n'en avait que faire. Il voulait entendre Tom gémir, le sentir se tendre et trembler, et sentir son sperme jaillir en lui.

Tom ouvrit la bouche pour rappeler de nouveau à Bill d'être silencieux, mais il n'en eut jamais l'occasion. Bill saisit l'opportunité, capturant les lèvres de son frère des siennes et plongeant sa langue dans la bouche de Tom. Au lieu de dire à son frère de faire moins de bruit, Tom se retrouva à gémir lui-même dans sa bouche et à s'enfoncer en lui avec un effort redoublé.

Le piercing de la langue de Bill cliqueta contre les dents de Tom, le faisant trembler. Bill explorait la bouche de son frère avec agressivité, le goûtant. Il frissonnèrent tous deux lorsque Bill serra ses muscles autour de son frère et rompit le baiser pour haleter, cherchant un peu d'air. “Tomi, je vais... je vais…”

Tom pressa ses lèvres contre celles de Bill, faisant taire son frère avant qu'il n'ait eu la possibilité de crier. Ses bras s'enroulèrent autour de Bill, le tenant tout contre lui tandis qu'ils bougeaient l'un contre l'autre. Tom s'enfonça plus profondément en son jumeau et Bill pressa son sexe entre eux, profitant de la friction glissante que leurs corps généraient.

Quand ils furent tous deux tremblants et incapables d'en supporter plus, Tom changea d'angle, pressant directement l'endroit qu'il savait parfaitement frapper juste de la bonne façon. Bill couina dans le baiser, ses muscles se resserrant soudainement autour de Tom tandis qu'il était emporté dans des spasmes d'extase.

Tom sentit la chaude humidité contre son torse et les ongles de Bill qui s'enfonçaient dans ses omoplates. Avec un grondement bas et un tremblement irrépressible il abandonna et laissa le plaisir l'emporter. Tout dans le monde, Bill excepté, s'évapora pendant un instant, et tout ce qu'il ressentait était l'étroite chaleur qui l'entourait. Bill laissa échapper un autre petit gémissement lorsqu'il sentit le sperme de Tom en lui. Il ne put s'empêcher de se tortiller, faisant de nouveau frissonner son frère.

Bill se laissa aller contre Tom, le faisant retomber à plat dos sur le lit, et ses jambes se trouvèrent désagréablement emprisonnées sous lui. Bill s'effondra sur lui, tandis que Tom dégageait doucement les jambes de son frère et les hissaient tous deux sur le lit. Ils avaient la tête au niveau du pied de lit, mais ça n'avait pas vraiment d'importance. Bill était déjà à moitié endormi au dessus de lui, et aucun d'entre eux n'avait envie de bouger.

Tom tira sur la couverture pour la ramener sur eux, et Bill enfouit son nez dans son épaule. Tom enroula ses bras autour de son frère et lui caressa doucement le dos tandis que Bill gémissait les petits grondements de contentement qu'il émettait quand il était épuisé et qu'il s'endormait. Tom était tout autant épuisé, mais son esprit n'était pas disposé à se mettre au repos et à le laisser dormir pour l'instant. Il resta allongé éveillé durant un long moment, observant son jumeau tandis que celui-ci dormait.

Il vint à l'esprit de Tom qu'ils étaient allés dans leur chambre pour parler et qu'au final presque rien n'avait été discuté. Il semblait que cela arrivait de plus en plus souvent ces derniers temps. Ils avaient l'intention de parler. Ils avaient l'intention de partager ce qu'ils ressentaient et de communiquer de la façon qu'Alan leur avait apprise, mais au final les choses se passaient rarement comme ça. Parler était plus difficile, et pas seulement pour Tom. Tous deux trouvaient qu'il était plus facile de se réconforter l'un l'autre avec leurs corps plutôt que de discuter de ce qui avait causé la blessure en premier lieu.

Ils étaient retombés dans leurs vieilles habitudes pour se réconforter l'un l'autre et guérir leurs sentiments blessés. Que ce soit la jalousie, la colère, l'anxiété, la nostalgie, le stress, ou juste une tristesse d'ordre général, les jumeaux savaient exactement comment repousser les mauvais sentiments. Le problème était que de repousser les mauvais sentiments ne guérissait pas ce qui les avait causés en premier lieu.

 


FIN CHAPITRE 20

 

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NAVHAUT