CHAPITRE 17

Bill s'assit dans la neige et attira Tom contre lui. Le blond se trouvait sur les genoux de son frère, face à lui et embrassa doucement son cou.

POV Bill : Oh mon dieu !! Il a de trop belles joues et en plus, elles sont toutes rouges à cause du froid... Il est à croquer !!

Il prit le visage de son frère dans ses mains et embrassa, lécha et mordilla sa peau si douce.

Bill : Je t'aime.

Ils se levèrent et allèrent se promener, main dans la main.

Soudain, Bill qui n'en pouvait plus, plaqua son frère contre le mur d'une petite cabane abandonnée.
Ils s'embrassèrent un moment puis ils entrèrent et s'assirent par terre, dans les bras l'un de l'autre.

Tom passa ses mains sous le T-shirt de Bill et il l'embrassa à pleine bouche. Celui-ci fit glisser la fermeture éclair du blouson de son frère et l'attira encore plus contre lui.
Tom s'appuya sur Bill, le faisant s'allonger et se plaça entre ses jambes. Il plaqua son corps contre celui, brûlant, de son frère.

Tom : J'ai envie de toi, dit-il dans un soupir.

Bill attrapa doucement les fesses de Tom et commença à les caresser.

Bill : Moi aussi...

Ses mains faisaient frémir chaque parcelle de peau de Tom. Ils soupiraient de plaisir. Ils n'avaient même pas froid. Ils n'y pensaient pas.
Seul leurs amour importait. Et leur amour explosait.

Bill se débarrassa de son blouson ainsi que de son sweet.

Leurs baisers se faisaient de plus en plus fougueux, passionnés.

Bill : Attends, relève-toi deux secondes....

Il posa ses habits sur le sol.

Bill : Je te fais un "petit nid d'amour" !!

Tom : Débile ce nom, mais merci de t'inquiéter que je n'ai pas froid !

Bill sourit et prit Tom par les hanches et le positionna face à lui.
Leurs vêtements ne furent bientôt qu'un lointain souvenir.

Leurs corps étaient plaqués l'un contre l'autre, pour ne pas avoir froid mais surtout parce qu'ils avaient un besoin vital de sentir l'autre contre leur peau.

La main de Bill glissa toute seule jusqu'à trouver celle de son jumeau qu'il serra de toutes ses forces.
Son autre main, elle, glissa sur le torse de son double, puis sur son boxer.

Du bout des doigts, il commença à caresser le sexe de son frère qui était déjà plus qu'éveillé.

Il put sentir le corps de Tom se contracter sous l'effet du plaisir, et sa main se crisper sur la sienne. Il l'embrassa dans le cou.
Les doigts de Tom caressaient l'intérieur des cuisses de Bill, puis son intimité.

Bill s'approchât de son cou et le couvrit de baisers entrecoupés par des coups de langues furtifs. Sa langue goûtait encore une fois goulûment celle du blond, comme si c'était la première fois.

Ses bras se refermèrent autour de son cou. Ses doigts glissaient le long de son torse, y faisant apparaître la chair de poule.
Les lèvres de Bill ne lâchaient plus celles de son frère. Leurs langues se caressaient, s'entrechoquaient, s'aimaient, se goûtaient. Elles ne faisaient plus qu'une.

Collé entre ses jambes, Bill sentait la virilité dressée de son frère contre sa cuisse.
Leurs souffles devenaient de plus en plus saccadés et ils formaient de petits nuages de buée.

Bill allongea Tom sur leurs habits et se mit à parcourir tout le corps de son frère avec sa langue. Il se laissa glisser le long de son corps, jusqu'à arriver au niveau du boxer, qu'il s'empressa d'enlever.

Il embrassa la peau partout tout autour du sexe de son jumeau, le faisant attendre. Tom gémissait de plus en plus fort.La température de son corps devait dépasser les cents degrés.
Bill sentit le bassin de Tom se soulever, comme pour demander plus de caresses.

Tom : Bill... Dépêche-toi... J'en peux plus...

Enfin il daigna laper le bout du sexe de Tom, faisant jouer son piercing sur les points les plus sensibles.
Tom rejetait sa tête en arrière et son corps était parcouru de spasmes, ses cris se répercutaient dans toute la cabane.

Bill faisait maintenant des mouvements de vas et viens. Ses mains caressaient toutes les parties du corps de Tom qu'il pouvait atteindre.

Le blond n'en pouvait plus. Son corps se contractait à chacun de ses coups de langue. Il ne pouvait rien faire, si ce n'est serrer les vêtements de toutes ses forces dans ses poings en dégustant ce plaisir qui s'étendait en lui.

Alors, dans un sursaut, Tom se libéra en hurlant.
Bill laissa couler le sperme de son frère et le récupéra dans ses mains avant d'en enduire son propre sexe.
Tom se retourna de lui-même.

Tom : Fais-moi l'amour s'il te plaît...

Bill : Je crois qu'il me plaît, oui...

Bill passa lentement sa main sur le corps nu et frissonnant de Tom.

Il approcha doucement son bassin de son frère et ferma les yeux en le pénétrant. Tom poussa un long gémissement aiguë, le plaisir entrait en lui et occupait toutes ses pensées.
Quand Bill commença de lents vas et viens en lui, il l'entendit gémir derrière lui, il sentait
ses mains qui parcouraient son corps et qui lui arrachaient des cris de jouissance, il sentait sa langue lécher se peau, sa bouche l'embrasser et son souffle toujours plus fort et saccadé.

Bill entrait et sortait de Tom à une vitesse folle à présent, leur rapport devenait violent, leurs cris se mêlaient...

Tom : Oh mon dieu !!!!......... BILL...Je...Je...

Bill : C'est trop...Trop...Boooonn... !!!

Tom : Je...Je...ARRETE !!!!! STOP!!!!

Bill se retira rapidement de Tom et ne bougea plus, il ne savait pas quoi faire.

Bill : Ça... Ça vas pas ?? ...Tu...Tu n'aimes plus ?? Tu heu... as eu mal ??

Tom ne répondit pas mais se retourna.

Tom : Donnes tes mains. Mets les dans les miennes.

Ils étaient tous les deux très essoufflés, et Bill était totalement désorienté. Il posa délicatement ses mains dans celles de Tom.

Tom avait maintenant un repère. Il savait où se trouvait son frère. Il le tira vers lui et l'embrassa.

Bill : Mais qu'est-ce qu'il se passe ??

Tom : Tais-toi. Ne parles pas, dit-il en posant un doigt sur ses lèvres.

Il enleva son bandeau et le plaça sur les yeux de son frère. Bill était de plus en plus paumé. Tom se leva.

Bill : Tu pars ?? Tu me laisses seul ??

Tom : Chuuuut....

Il contourna Bill et se mit derrière lui. Il posa ses mains sur son dos et appuya. Bill était à quatre pattes, nu, excité comme jamais, il avait les yeux bandés et il était totalement a sa merci.

Bill : Tom, qu'est-ce que tu fais ??

Pour toute réponse, Tom se pencha sur Bill et frotta son bassin contre celui de son frère. Bill sembla avoir une illumination et compris.

Bill : Oh Tom !!! Hum...

Tom agrippa les hanches de son frère et caressa sa peau pour le détendre.

Tom : Ça vas aller... Tu me dis stop et c'est tout.

Bill : J'te dirais jamais "stop". J'en ai trop envie... Viens.

Tom s'approcha encore et entra lentement, le plus lentement possible dans Bill. Celui-ci étouffa un petit cris de douleur et serra les poings le plus fort possible. Il se força à respirer lentement et profondément pour se détendre. Tom caressait très sensuellement le corps de Bill.
Il savait ce qu'il ressentait, il savait aussi que moins il se détendait, plus ça lui ferait mal. Il avait tellement envi de s'enfoncer plus profondément dans Bill, de l'entendre hurler de plaisir, de le sentir jouir contre lui, de faire dans son corps si parfait des mouvements si rapides qu'il en aurait le vertige...en gros, le baiser sauvagement !

Tout son corps voulait avancer et connaître la sensation de faire l'amour à Bill. Il se forçait à résister à ses pulsions. Sa main passa sur le ventre de son frère, puis sur son sexe et caressa de haut en bas la verge toute droite du chanteur.

Tom : Je t'aime... Je t'aime... Détends-toi... Ça vas aller, tu verras...

Bill : Je t'aime...

Bill se sentait déjà mieux, le plaisir l'envahissait par vague, ses gémissements devenaient plus forts, il se mit à accompagner les mouvements de la main de Tom.
Les soupirs du chanteur firent place à des gémissements. Il transpirait.
Tom sentit le corps de Bill se détendre et il se retira de lui tout doucement, pour entrer encore plus profond.
Bill lâcha un cris plus fort et frissonna de tout son long.

Tom renouvela son mouvement, encore et encore.

Sa vitesse était enivrante, leurs cris devenaient des hurlements, Tom agrippait fermement la hanche de Bill d'une main plantant ses ongles dans sa peau à chaque coup de reins. L'autre main s'occupait du sexe de son frère.

Leurs corps vibraient, ils étaient secoués par des spasmes de plaisir. Bill sentait des gouttes de sueur perler sur tout son corps, il avait trop chaud, ce plaisir nouveau le faisait monter plus haut que jamais.

Tom entrait et sortait de Bill tellement vite, tellement fort, tellement profond...
Leurs cris se hachaient, ils haletaient.

Bill eu soudain envie de pleurer, de rire, de hurler de joie, de plaisir. Sa gorge lui faisait mal à force d'hurler, il avait un trop plein de plaisir d'un coup.

Des larmes se mirent à couler le long de ses joues, son visage était tout contracté et convulsé à chaque coups de reins de son frère, toujours plus rapides et appuyés.

Tom quand à lui avait la tête qui tournait. Il voulait voir Bill, voir son l'expression de son visage quand il le pénétrait, voir son corps trembler de jouissance... Il l'entendait hurler de toutes ses forces, Bill hurlait sous ses coups de reins, il hurlait parce que Tom lui faisait l'amour.

Il lui procurait un plaisir si immense, si... magique. Il lui faisait l'amour, pour de vrai, il était en lui et leurs corps mouillés par l'effort et tremblants de désir se collaient, se touchaient, ne faisaient plus qu'un.

Le sang battait dans leurs tempes.

Bill mordit sauvagement dans les vêtements posés à terre, ses bras ne le portaient presque plus, il les sentaient faiblir.
Soudain, une vague encore plus puissante de plaisir l'envahit et il se cambra, roulant des yeux, dans un râle de jouissance, ne contrôlant plus son corps électrifié de spasmes en hurlant. Tout son corps se contracta quelques secondes puis se relâcha d'un coup.

Tom sentit tout à coup le corps de son frère se convulser puis se détendre. Tom entra alors plus profondément que jamais dans Bill et se laissa aller lui aussi.

Il lâcha le sexe de son frère pour attraper ses hanches et le plaqua encore plus contre lui le temps de se libérer dans un hurlement rauque.

Tom sentit tout son corps réagir au plaisir qu'il ressentait. Ses yeux lui piquèrent quelques instants, mais il n'y prêta pas attention.
Il serrait le plus fort possible Bill contre lui.

Ils restèrent un instant ainsi, l'un dans l'autre, à savourer le plaisir qu'ils venaient de donner et de recevoir.

Puis, Tom se retira lentement de son frère et se laissa tomber à ses côtés. Bill s'allongea lui aussi et ramena la tête de Tom sur son torse. Ses dreads le chatouillaient et son souffle léger lui faisait apparaître de la chair de poule. Ils ne pouvaient plus parler, trop épuisés, essoufflés.

Tom approcha ses lèvres de celles de Bill et l'embrassa avec le peu de force qui lui restait. Il sentit les joues mouillées de Bill.

Tom : Tu... Euh... Alors ??

Bill : Alors... Quoi ??

Tom : Ben tu sais...Comment c'était ?

Bill : ...

Tom : Si nul que sa ??

Bill : ...

Tom : A ce point ??

Bill : Tais-toi...

Tom reposa sa tête contre la poitrine de Bill en attendant la réponse.

Il se sentait vaguement contrarié, il voulait sa réponse !!

POV Tom : C'est un peu humiliant là... Je suis ravagé par la tristesse !!

Quelques minutes se passèrent en silence, leurs respirations redevenaient normale, leurs corps étaient serrés l'un contre l'autre.

Bill : C'était merveilleux. Y a pas de mots. Je t'aime.

Tom : Merci... Mais pourquoi... Pourquoi t'as pleuré alors ? Je t'ai fait mal ?, dit-il ahurit.

Bill : Nan. Je sais pas. Je sais pas pourquoi. J'ai pris trop de plaisir, je pouvais pas me contrôler.

Tom : Ah. En tout cas, j'ai fait de mon mieux.

Bill : Eh ben c'était parfait. J'ai... J'ai adoré que tu prennes les devants.

Tom : Désolé de t'avoir fait peur au début...

Bill : C'est vrai que j'ai trop flippé ! J'me suis demandé ce qui se passait, t'avais l'air d'aimer quoi, et d'un coup tu hurles en me disant d'arrêter...

Tom : Je voulais voir si tu m'aimais et me respectais assez pour t'arrêter en plein milieu si je le demandais.

Bill : Bien sur que je m'arrête ! Je te forcerais jamais !

Tom : Merci. Qu'est-ce que ça fait de rien voir ?

Bill : C'est...Spécial, mais vraiment bien. Moi je dis, à refaire !!

Tom : Sans problème, dit-il dans un soupir.

Bill : Dis, je commence à avoir un peu frisquet de la nouille, il fait froid quoi... On se rentre ?

Tom : Ok. Mais j'en ai pas fini avec toi. Je vais te faire l'amour et même si tu es crevé, je te ferais l'amour encore et encore.
J'aime te sentir contre moi, ta peau sous mes doigts, tes caresses, tout de toi. Je t'aime si fort que c'est impossible de le décrire...On devrait inventer un mot pour ça.
Mais le seul, le plus connu, celui que je pourrais te dire sans fin c'est "je t'aime".

Bill : ... Ecoute ! Ne te prive surtout pas d'accords !!

Ils se mirent à rire doucement, puis se décidèrent enfin à se lever.

Bill aida son frère à se relever et à s'habiller, puis ils prirent le chemin de leurs chalet, main dans la main, s'embrassant de temps en temps.

Ils rentrèrent chez eux et mirent à sécher leurs blousons sur la cheminée.

Bill : Bon, on vas jouer à un jeu. Je vais poser des objets à certains endroits de la maison, et tu vas devoir les retrouver, en te cognant le moins de fois possible.

Tom : Ok...

Bill : Bon, par exemple... Voilà, ce sac.

Il s'empara d'un sac à dos, et le fit tomber par terre.
Les vibrations du choc se répercutèrent dans toute la pièce, mais elle ne furent ressenties que par Tom.
Ce fut comme un flash représentant toute la pièce.
Grâce à l'onde de choc, il sut exactement où se trouvait le sac.

Il s'avança, passa à côtés d'une chaise qui lui barrait la route, se baissa et attrapa le sac.

Bill : Whoo !! Bravo, sérieux tu m'impressionnes !

Tom : Je sais, je sais...

Bill : Bon, plus petit maintenant.

Il fit tomber son mascara un peu plus loin, et rajouta un livre par terre, pour gêner Tom.

Mais celui-ci, comme la première fois, sut éviter les obstacles et retrouver le mascara.

Ils continuèrent quelques temps, Tom voyait distinctement la pièce où ils se trouvaient pendant quelques secondes, ce qui lui permettait de repérer ce qu'il cherchait.
Mais il voyait cela différemment, par la température, les bruits, les vibrations...

Seulement il ne voyait comme cela que s'il touchait quelque chose, ou s'il se concentrait vraiment.

Et cela ne remplaçait en rien la vue. C'était juste une très maigre consolation de la nature, pour qu'il ait un minimum. Ses quatre autres sens s'étaient développés.
Ce qui l'arrangeait pleinement dans leur intimité...

Tom : Bill, je... J'aimerais bien faire un peu de guitare... Je sais, c'est débile parce que je pourrais pas y arriver, mais j'ai besoin du contact, tu comprends ?
Ça me manque...

Bill : Hey !! Je comprends très bien, je trouve pas ça débile enfin !
Assieds-toi, je vais te la chercher. On a qu'à le faire à deux...

Tom : Merci...

Bill monta quatre à quatre dans leur chambre.
Il avait amené une des guitares de Tom, contre l'avis de leur mère, car il se doutait qu'il aurait envie de re-jouer.

Il redescendit et se mit face à Tom.

Bill : Tends les mains.

Tom n'arrivait pas à cacher son excitation. Il s'exécuta.

Bill posa la guitare dans ses mains tendus et tremblantes.
Il s'assit sur le canapé, et tira les hanches de Tom vers lui, afin qu'il s'assoit entre ses jambes.
Tom s'appuya contre le torse de Bill et fit courir ses doigts le long du manche.

POV Tom : Tu m'as manqué tu sais ? Je me sens perdu sans toi. Je t'aime ma chérie tu sais ? Presque autant que j'aime Bill.
Sois pas jalouses écoutes, c'est toujours mieux que toutes les petites pétasses qui sont passées dans mon pieux non ?

Bill : Je sais que tu lui parles. Tu peux lui dire tous ce que t'as envie à voix haute tu sais ?

Tom : Hey, c'est personnel !

Bill : Okay, je te laisses blablater avec ta chérie...

Tom : T'as vu comment il est jaloux ? Jaloux d'une guitare !! Bon ok, pas n'importe laquelle, mais quand même !
J'aimerais bien que vous soyez amis tous les deux, parce que je vous aime trop pour vous voir vous engueuler...

Bill : Tu crois qu'elle accepterais que je la touche ?

Tom : Si t'es tendre et précis, je crois que oui...

Bill : Apprends-moi...

Tom prit les mains de Bill et les plaça sur la guitare. Il savait exactement où se trouvait chaque corde, chaque accord, il se rappelait de tout.
Il se concentra.
Il sentait l'excitation qui s'emparait de lui quand il prenait en main sa guitare, il aurait put en jouer les yeux fermés. Et aujourd'hui, il n'avait pas le choix.

Il plaça ses mains sur celles de son frère, et pinça une des cordes. Le son familier qui s'échappa de son instrument lui donna un frisson.
Il retrouva vite ses marques. Il jouait, ses mains guidant celles de Bill.

Celui-ci avait sa tête dans le cou de son frère, il se laissait faire. Il sentait que Tom était dans son élément, qu'il se sentait bien. Et si Tom se sentait bien, alors Bill aussi.

Ils jouèrent un moment ensemble, puis Bill enleva ses mains, pour que Tom puisse jouer tout à son aise.
Il fit plusieurs mauvais accords.

Tom : Je n'arrive pas à jouer, mon cœur bat trop vite !

Bill : Ne t'inquiète pas, c'est normal ok , faut juste que tu te détendes.

Tom : Facile à dire ! Je sais que t'es à côtés de moi et que tu m'écoutes.

Bill : Ca ta jamais gêné pourtant !

Tom : Ouais je sais... Mais maintenant c'est comme si... enfin... j'ai peur d'ouvrir les yeux...et j'ai peur de les fermer. Là, je te vois pas et ça me bouleverse presque tu comprends ?

Bill : Ouais t'inquiète je sais que c'est dur pour toi de pas voir mon visage d'ange lol !

Tom : Te marre pas ! Tu sais que tu as la tête d'un type qui vaut 2000 dollars ?

Bill : Oui...mais toi tu n'as pas la tête de celui qui les encaissera.

Tom ne releva pas. C'était toujours comme ça, ils adoraient se 'casser' mutuellement.

Tom : Dis, c'est pas que je commence à crever la dale, mais si.

Bill : Qu'est-ce que tu veux manger ??

Tom : Toi.

Bill : Et sinon ??...

Tom : Des pâtes. Avec de la sauce tomates, et plein d'autre sauce. En fait, plus de sauce que de pâtes.

Bill : Ok, je vais te faire ça. Après mangé, sieste. Il est déjà 2h !!

Tom : OK, le programme de la journée me convient...

Ils préparèrent ensemble leur repas, Tom aidant comme il pouvait. Ils mangèrent de bon cœur, leur escapade du matin avait creusé leur appétit. Ils montèrent dans leur chambre et s'endormirent rapidement, blottis l'un contre l'autre, étroitement enlacés.

FIN CHAPITRE 17